Si l’on surveille superficiellement le paysage sociologique en Inde, le féminisme- un mouvement qui a fortement vocalisé pour l’émancipation des femmes- a connu un grand succès. Les exemples brillants des efforts de ce mouvement sont dispersés aux quatre coins du pays et dans chaque domaine de la société. Même les Etats-Unis n’ont pas encore élu une dirigeante, mais, nous, en Inde, avons affirmé la règle, pas seulement d’une Première Ministre, mais aussi d’une Présidente. Les astronautes indiennes ont vaincu les barricades spatiales, les entrepreneuses contrôlent les conglomérats immenses et les athlètes féminines battent tous les records. La société civile est aussi sensibilisée aux droits des femmes et les lois contre le dot, le sati et l’infanticide et pour l’égalité dans les sphères de l’héritage font preuve du progrès du féminisme. Mais la vraie libération d’un sexe entier devrait mesurer par un état d’esprit, pas par les statistiques, les reportages ou la voluminosité de notre législation.
Je voudrais souligner cette proposition en discutant l’évolution du lien entre le féminisme et le sport, en particulier. Qui aurait imaginé, dans un pays qui est fou d’un sport dominé par onze hommes, que le spectacle d’une jeune fille musulmane portant une jupe courte et faisant des coups de raquette vigoureusement aux courts de tennis fameux a Wimbledon, attirerait millions de téléspectateurs ? Pour moi, Sania Mirza est un symbole de grands bonds que le féminisme a fait dans la domaine de sport. On a réussi a détruire tous les stéréotypes des femmes fragiles et délicates. Elles ont bien montre la prouesse physique et aussi l’esprit des gagneuses que le sport exige, en général. Néanmoins, j’ai les doutes a propos de la vraie parité entre les deux sexes. Les athlètes féminines ont beaucoup lutte pour gagner le même prix que leurs homologues. Dans le cadre des Grands Chelems, il y a juste deux ans avant que les organisateurs du tournoi de Wimbledon ont égalisé le prix pour les joueurs et les joueuses. La justification avancée pour la somme plus grande chez les hommes était qu’il jouaient cinq manches, face a trois manches jouées par les femmes. Mais ce raisonnement montre une grosse erreur- ce qu’on ne compte pas, c’est que tous les deux jouent au maximum de leurs capacités. Si les femmes jouent leur mieux, on ne peut pas les pénaliser pour les différences biologiques.
On peut assurer ‘la même paie pour le même travail’, mais comment peut-on garantir la même popularité ou le même enthousiasme pour le sport féminin ? Pendant les matchs de foot, les stades sont prèsque vides. Leurs combats sont rarement télévises et je doute sérieusement que personne puisse nommer un membre de notre équipe féminine de cricket ! C’est vraiment dommage que leurs efforts ne sont pas applaudis. Les hommes gagnent toute la gloire (et aussi les contrats très lucratifs !)
Un autre aspect regrettable est une sorte d’exploitation sexuelle des athlètes féminines. Les joueuses qui attirent les spectateurs ne sont pas toujours les meilleures, mais les plus sexys et les plus fascinantes. Elles ont devenu les femmes-objets. Le sport chez les femmes a vraiment fait du progrès, mais il y a encore grandes choses a accomplir. Même la différence physique entre les sexes réduit de plus en plus vite. Qu’est-ce que l’avenir promet ? Une rencontre entre Rafa et Serena ? Peut-être. Et le résultat ? Une gagneuse, j’espère.
Je voudrais souligner cette proposition en discutant l’évolution du lien entre le féminisme et le sport, en particulier. Qui aurait imaginé, dans un pays qui est fou d’un sport dominé par onze hommes, que le spectacle d’une jeune fille musulmane portant une jupe courte et faisant des coups de raquette vigoureusement aux courts de tennis fameux a Wimbledon, attirerait millions de téléspectateurs ? Pour moi, Sania Mirza est un symbole de grands bonds que le féminisme a fait dans la domaine de sport. On a réussi a détruire tous les stéréotypes des femmes fragiles et délicates. Elles ont bien montre la prouesse physique et aussi l’esprit des gagneuses que le sport exige, en général. Néanmoins, j’ai les doutes a propos de la vraie parité entre les deux sexes. Les athlètes féminines ont beaucoup lutte pour gagner le même prix que leurs homologues. Dans le cadre des Grands Chelems, il y a juste deux ans avant que les organisateurs du tournoi de Wimbledon ont égalisé le prix pour les joueurs et les joueuses. La justification avancée pour la somme plus grande chez les hommes était qu’il jouaient cinq manches, face a trois manches jouées par les femmes. Mais ce raisonnement montre une grosse erreur- ce qu’on ne compte pas, c’est que tous les deux jouent au maximum de leurs capacités. Si les femmes jouent leur mieux, on ne peut pas les pénaliser pour les différences biologiques.
On peut assurer ‘la même paie pour le même travail’, mais comment peut-on garantir la même popularité ou le même enthousiasme pour le sport féminin ? Pendant les matchs de foot, les stades sont prèsque vides. Leurs combats sont rarement télévises et je doute sérieusement que personne puisse nommer un membre de notre équipe féminine de cricket ! C’est vraiment dommage que leurs efforts ne sont pas applaudis. Les hommes gagnent toute la gloire (et aussi les contrats très lucratifs !)
Un autre aspect regrettable est une sorte d’exploitation sexuelle des athlètes féminines. Les joueuses qui attirent les spectateurs ne sont pas toujours les meilleures, mais les plus sexys et les plus fascinantes. Elles ont devenu les femmes-objets. Le sport chez les femmes a vraiment fait du progrès, mais il y a encore grandes choses a accomplir. Même la différence physique entre les sexes réduit de plus en plus vite. Qu’est-ce que l’avenir promet ? Une rencontre entre Rafa et Serena ? Peut-être. Et le résultat ? Une gagneuse, j’espère.