dimanche 15 février 2009

Quand l'école cognait (249 mots)

On observe l’augmentation du taux du crime chez les jeunes d’une manière alarmante- les actes de vandalisme, la conduite en état d’ivresse, les crimes passionnels et il faut absolument trouver une solution. J’admets que la cruauté envers les enfants est insupportable, mais est-ce que les châtiments corporels a l’école peuvent servir à inculquer la discipline qui manque ?

Au premier lieu, j’ai la conviction que les sévices ne servent qu’à terroriser les enfants. L’école devient un cauchemar et les enseignants se manifestent de formes des démons. Au lieu de graver les leçons sur la mémoire des écoliers, la verge les fait oublier tout sauf sa menace immédiate. Avec l’imposition de cette pratique horrifiante, les enfants commencent à perdre leur confiance, ils développent les problèmes de bégaiement et leurs personnalités n’ont pas la liberté d’épanouir.

Néanmoins, il ya des enfants qui peuvent être très cruels, et parfois, les brutes de la cour de recréation ne comprennent que la langue des mains. Il y en a plusieurs qui ressemblent les bêtes sauvages, et qui, par conséquent, respectent seulement l’exhibition de force. Autant choquant sont les écoliers américains qui portent les plaintes contre les parents qui leur demandent à faire les devoirs, en le citant comme une sorte de la cruauté mentale !

Etant donné que nous sommes une société civilisée, il me parait inimaginable que la férule peut faire la loi. Cependant, il faut réfléchir s’il y a des grains de sagesse dans le proverbe « qui aime bien, châtie bien »

samedi 14 février 2009

Le travail et les sentiments (259 mots)

Nous avons la tendance de compartimenter notre vie- nous fonctionnons par les horaires. Même quand nous sommes enfants, nous avons les heures rigides pour jouer, étudier, nous coucher. Cette division continue pendant l’université, mais peut-il s’appliquer a la vie professionnelle ? Faut-il laisser toutes les tensions personnelles à la maison, ou peut-on apprendre avec succès comment gérer les sentiments au bureau ?

D’un coté, même la science soutient un mélange sage du travail et des sentiments. La recherche fait preuve que notre efficacité augmente progressivement avec la bonne ambiance au bureau. D’ailleurs, en considérant les heures exigeantes du travail, il faut que l’atmosphère au bureau soit amicale- presque une seconde maison. Et nous ne sommes pas encore arrivés à l’âge robotique où nous pouvons éteindre nos émotions rien qu’en appuyant sur un bouton.

En revanche, les études de gestion nous préviennent de l’exposition excessive des émotions- les affectifs ne seront jamais les bons dirigeants. Pour une raison similaire, les médecins se soumettent au code professionnel strict- de ne pas se permettre de maintenir les relations amoureuses avec leurs patients. Les sentiments affaiblissent notre jugement, nourrissent les méprises et nous font beaucoup compter sur les collègues, qui sont, a l’analyse ultime, nos rivaux.

Apres avoir vu les avantages et les inconvénients, ca sera intéressant de réfléchir a comment ce conflit de deux mondes évoluera avec une nouvelle tendance- celle de travailler à mi-temps ou même de la maison. A la fin, je trouve inimaginable un bureau sans l’interaction humaine, mais j’admets qu’il faut toujours se tenir sur ses gardes !