mardi 10 mars 2009

La Mode- Givenchy, Armani….. Ou vous-même ?

Une de mes émissions favorites s’appelle « Ce qu’il ne faut jamais porter » Il s’agit des femmes qui font face à beaucoup de critiques a propos de leurs habillements. A la fin, elles sont transformées par les belles présentatrices de l’émission avec un petit mouvement de leurs baguettes magiques (en ce cas, la baguette est le mètre à ruban !!). Récemment, cette émission m’a fait penser à l’objectif de la mode. Est-ce qu’elle crée les pressions artificielles pour se conformer ou nous permet-elle a trouver notre identité unique ?

D’une part, le désir de s’accorder avec tout le monde est presque universel- c’est pourquoi nous suivons la dictature de la mode. De plus, les stylistes, les grandes chaines de magasins des vêtements, les revues de mode et les agences de publicité tirent profit de ce désir et nous annoncent, sans cesse, le dernier cri.

D’autre part, il y a les individualistes pour qui la mode donne l’opportunité d’épanouir et de se libérer d’un moule. Ces gens sont essentiels pour que la mode ne soit pas stagnante. Ce sont eux qui donnent le ton.

A mon avis, la mode représente un but général à atteindre- d’être accepté, mais elle nous offre aussi plusieurs chemins pour arriver à ce but. Prenons l’exemple de ma profession des avocats- être habillé en noir et blanc est pratiquement obligatoire, mais vous seriez étonnés de voir les nuances variées des robes et les coupes différentes des manteaux dans les cours de la justice !

Finalement, il est évident que la mode s’est adaptée pour accommoder les personnalités variées des gens, mais elle a encore les défis à relever- les problèmes de l’anorexie et de la boulimie. La mode n’a pas seulement les fonctionnes esthétiques, elle doit avoir une conscience sociale à la fois.

jeudi 5 mars 2009

OGM

La science, et la technologie, en particulier se sont révolutionnées pendant le vingt-et-unième siècle, mais les problèmes auxquels elles doivent s’attaquer sont toujours les mêmes- la maladie, la pauvreté, et la faim. La dernière nous pose un grand défi. Il y en a qui pensent que les technologies OGM peuvent fournir la solution pour la nourriture des millions, mais sont-elles vraiment les façons du développement les plus soutenables ?


Premièrement, en les utilisant, l’augmentation de la productivité est assurée. De plus, on peut avoir les plantes presque fait sur mesure- qui peuvent s’adapter aux conditions climatiques rigoureuses, un avantage précieux dans cet âge du réchauffement de la terre. Ils réduisent aussi, au minimum la dégradation du sol, en nécessitant moins d’engrais.


En revanche, les processus de séquençage des génomes de la famille des grains dur long et exige aussi des investissements considérables. Les obstacles légaux, en forme du brevetage, limitent l’accès aux banques de semences, surtout pour les petits paysans.


Selon moi, il ne nous sert à rien d’ignorer le potentiel énorme de cette nouvelle technologie. Comme l’article décrit, la technique d’accélérer la transmission d’une qualité propre au sein de la même variété est bien connue par les familles agricoles. Il ne faut pas oublier ces moyens anciens en considérant les OGM indispensables.


Par exemple, l’agriculture biologique ou organique montre une bonne utilisation de ressources naturelles, pas polluée par les craintes qui accompagnent l’utilisation des techniques génétiques. Enfin, c’est évident que la science et la nature doivent marcher la main dans la main. Il faut encourager les innovations, en ne pas oubliant les leçons que la nature nous peut enseigner.