Une de mes émissions favorites s’appelle « Ce qu’il ne faut jamais porter » Il s’agit des femmes qui font face à beaucoup de critiques a propos de leurs habillements. A la fin, elles sont transformées par les belles présentatrices de l’émission avec un petit mouvement de leurs baguettes magiques (en ce cas, la baguette est le mètre à ruban !!). Récemment, cette émission m’a fait penser à l’objectif de la mode. Est-ce qu’elle crée les pressions artificielles pour se conformer ou nous permet-elle a trouver notre identité unique ?
D’une part, le désir de s’accorder avec tout le monde est presque universel- c’est pourquoi nous suivons la dictature de la mode. De plus, les stylistes, les grandes chaines de magasins des vêtements, les revues de mode et les agences de publicité tirent profit de ce désir et nous annoncent, sans cesse, le dernier cri.
D’autre part, il y a les individualistes pour qui la mode donne l’opportunité d’épanouir et de se libérer d’un moule. Ces gens sont essentiels pour que la mode ne soit pas stagnante. Ce sont eux qui donnent le ton.
A mon avis, la mode représente un but général à atteindre- d’être accepté, mais elle nous offre aussi plusieurs chemins pour arriver à ce but. Prenons l’exemple de ma profession des avocats- être habillé en noir et blanc est pratiquement obligatoire, mais vous seriez étonnés de voir les nuances variées des robes et les coupes différentes des manteaux dans les cours de la justice !
Finalement, il est évident que la mode s’est adaptée pour accommoder les personnalités variées des gens, mais elle a encore les défis à relever- les problèmes de l’anorexie et de la boulimie. La mode n’a pas seulement les fonctionnes esthétiques, elle doit avoir une conscience sociale à la fois.
mardi 10 mars 2009
La Mode- Givenchy, Armani….. Ou vous-même ?
jeudi 5 mars 2009
OGM
La science, et la technologie, en particulier se sont révolutionnées pendant le vingt-et-unième siècle, mais les problèmes auxquels elles doivent s’attaquer sont toujours les mêmes- la maladie, la pauvreté, et la faim. La dernière nous pose un grand défi. Il y en a qui pensent que les technologies OGM peuvent fournir la solution pour la nourriture des millions, mais sont-elles vraiment les façons du développement les plus soutenables ?
Premièrement, en les utilisant, l’augmentation de la productivité est assurée. De plus, on peut avoir les plantes presque fait sur mesure- qui peuvent s’adapter aux conditions climatiques rigoureuses, un avantage précieux dans cet âge du réchauffement de la terre. Ils réduisent aussi, au minimum la dégradation du sol, en nécessitant moins d’engrais.
En revanche, les processus de séquençage des génomes de la famille des grains dur long et exige aussi des investissements considérables. Les obstacles légaux, en forme du brevetage, limitent l’accès aux banques de semences, surtout pour les petits paysans.
Selon moi, il ne nous sert à rien d’ignorer le potentiel énorme de cette nouvelle technologie. Comme l’article décrit, la technique d’accélérer la transmission d’une qualité propre au sein de la même variété est bien connue par les familles agricoles. Il ne faut pas oublier ces moyens anciens en considérant les OGM indispensables.
Par exemple, l’agriculture biologique ou organique montre une bonne utilisation de ressources naturelles, pas polluée par les craintes qui accompagnent l’utilisation des techniques génétiques. Enfin, c’est évident que la science et la nature doivent marcher la main dans la main. Il faut encourager les innovations, en ne pas oubliant les leçons que la nature nous peut enseigner.
dimanche 15 février 2009
Quand l'école cognait (249 mots)
Au premier lieu, j’ai la conviction que les sévices ne servent qu’à terroriser les enfants. L’école devient un cauchemar et les enseignants se manifestent de formes des démons. Au lieu de graver les leçons sur la mémoire des écoliers, la verge les fait oublier tout sauf sa menace immédiate. Avec l’imposition de cette pratique horrifiante, les enfants commencent à perdre leur confiance, ils développent les problèmes de bégaiement et leurs personnalités n’ont pas la liberté d’épanouir.
Néanmoins, il ya des enfants qui peuvent être très cruels, et parfois, les brutes de la cour de recréation ne comprennent que la langue des mains. Il y en a plusieurs qui ressemblent les bêtes sauvages, et qui, par conséquent, respectent seulement l’exhibition de force. Autant choquant sont les écoliers américains qui portent les plaintes contre les parents qui leur demandent à faire les devoirs, en le citant comme une sorte de la cruauté mentale !
Etant donné que nous sommes une société civilisée, il me parait inimaginable que la férule peut faire la loi. Cependant, il faut réfléchir s’il y a des grains de sagesse dans le proverbe « qui aime bien, châtie bien »
samedi 14 février 2009
Le travail et les sentiments (259 mots)
D’un coté, même la science soutient un mélange sage du travail et des sentiments. La recherche fait preuve que notre efficacité augmente progressivement avec la bonne ambiance au bureau. D’ailleurs, en considérant les heures exigeantes du travail, il faut que l’atmosphère au bureau soit amicale- presque une seconde maison. Et nous ne sommes pas encore arrivés à l’âge robotique où nous pouvons éteindre nos émotions rien qu’en appuyant sur un bouton.
En revanche, les études de gestion nous préviennent de l’exposition excessive des émotions- les affectifs ne seront jamais les bons dirigeants. Pour une raison similaire, les médecins se soumettent au code professionnel strict- de ne pas se permettre de maintenir les relations amoureuses avec leurs patients. Les sentiments affaiblissent notre jugement, nourrissent les méprises et nous font beaucoup compter sur les collègues, qui sont, a l’analyse ultime, nos rivaux.
Apres avoir vu les avantages et les inconvénients, ca sera intéressant de réfléchir a comment ce conflit de deux mondes évoluera avec une nouvelle tendance- celle de travailler à mi-temps ou même de la maison. A la fin, je trouve inimaginable un bureau sans l’interaction humaine, mais j’admets qu’il faut toujours se tenir sur ses gardes !
jeudi 22 janvier 2009
Le féminisme
Je voudrais souligner cette proposition en discutant l’évolution du lien entre le féminisme et le sport, en particulier. Qui aurait imaginé, dans un pays qui est fou d’un sport dominé par onze hommes, que le spectacle d’une jeune fille musulmane portant une jupe courte et faisant des coups de raquette vigoureusement aux courts de tennis fameux a Wimbledon, attirerait millions de téléspectateurs ? Pour moi, Sania Mirza est un symbole de grands bonds que le féminisme a fait dans la domaine de sport. On a réussi a détruire tous les stéréotypes des femmes fragiles et délicates. Elles ont bien montre la prouesse physique et aussi l’esprit des gagneuses que le sport exige, en général. Néanmoins, j’ai les doutes a propos de la vraie parité entre les deux sexes. Les athlètes féminines ont beaucoup lutte pour gagner le même prix que leurs homologues. Dans le cadre des Grands Chelems, il y a juste deux ans avant que les organisateurs du tournoi de Wimbledon ont égalisé le prix pour les joueurs et les joueuses. La justification avancée pour la somme plus grande chez les hommes était qu’il jouaient cinq manches, face a trois manches jouées par les femmes. Mais ce raisonnement montre une grosse erreur- ce qu’on ne compte pas, c’est que tous les deux jouent au maximum de leurs capacités. Si les femmes jouent leur mieux, on ne peut pas les pénaliser pour les différences biologiques.
On peut assurer ‘la même paie pour le même travail’, mais comment peut-on garantir la même popularité ou le même enthousiasme pour le sport féminin ? Pendant les matchs de foot, les stades sont prèsque vides. Leurs combats sont rarement télévises et je doute sérieusement que personne puisse nommer un membre de notre équipe féminine de cricket ! C’est vraiment dommage que leurs efforts ne sont pas applaudis. Les hommes gagnent toute la gloire (et aussi les contrats très lucratifs !)
Un autre aspect regrettable est une sorte d’exploitation sexuelle des athlètes féminines. Les joueuses qui attirent les spectateurs ne sont pas toujours les meilleures, mais les plus sexys et les plus fascinantes. Elles ont devenu les femmes-objets. Le sport chez les femmes a vraiment fait du progrès, mais il y a encore grandes choses a accomplir. Même la différence physique entre les sexes réduit de plus en plus vite. Qu’est-ce que l’avenir promet ? Une rencontre entre Rafa et Serena ? Peut-être. Et le résultat ? Une gagneuse, j’espère.
mardi 20 janvier 2009
La Suppression des Publicités
Mais après la réflexion calme, j’ai trouvé plusieurs arguments contre cette mesure. D’abord, il faut trouver le but de cette suppression, et puis, examiner si la mesure proposée peut achever son objectif. En France, la suppression était visé à améliorer la qualité et le contenu des émissions sur la télé. (On a entendu dire que le Président de la République voulait essayer d’égaler BBC et qu’il y avait un grand écart entre le niveau du cinéma français et la télévision française). Mais on ne peut pas transposer ces mêmes arguments dans le contexte indien. Il ya déjà un déficit des fonds consacré pour les beaux-arts et leur avancement via la média publique. Si le gouvernement s’empare les chaînes publiques de leur source de revenu privé aussi, c’est prèsque certain que la qualité des émissions va détériorer. Et les riches chaînes privées seront plus riches qu’avant- les budgets consacrés pour les chaînes publiques maintenant seront transférés aux chaînes privées plus rapidement qu’il est possible d’imaginer, ainsi, perpétuant la dominance des magnats de la média d’aujourd'hui.
Finalement, il reste la question du contrôle culturel par le gouvernement. Les chaînes publiques seront obligées d’obéir les ordres des ministres parce qu’elles perdront leur indépendance financière. Dans une société dont la constitution promet de protéger la liberté de l’expression, il est insupportable d’avoir les contraintes de l’Etat sur la créativité.
Au lieu de la suppression, les autorités peuvent contempler l’imposition des taxes sur les chaînes privées et l’utilisation de ce revenu pour la vraie propagation de la culture indienne.
Donc, la prochaine fois un match intéressant est interrompu par une publicité, je me souviendrai de ces arguments !!